Ulysses Saloff-Coste

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La jeunesse de Guillaume le Maréchal

mardi 8 mars 2005, par Ulysses Saloff-Coste


Attention : il s’agit ici d’un exposé d’un étudiant. Ce n’est pas un cours d’un professeur. Des coquilles peuvent subsister dues à mon inattention ou à celle de son auteur.

Il est né au milieu du XIIe s. Il est champion de tournoi. Les français ont reconnu la supériorité de ce serveur de l’Angleterre. Le déroulement des tournois et l’implication du roi.

On évoque un tournoi. C’est une simulacre de combat avec des armes réelles. Il se déroule en Normandie. Depuis 1140, essor des tournois, car cette année paix de Dieu. Intervention des hérauts. Les chevaliers participent au tournoi pour la renommée et la fortune (l.3-4). Henri le Jeune est caractérisé par sa « largesse » (l.7). Mesnie (l.9) est un groupe d’hommes libres qui vivent au Xie et XIIe s. dans la maison d’un grand. Dans la « mesnie », on parle de Roger (l.10). Celui-ci demande au maréchal d’être son compagnon d’arme, donc lien féodo-vassalique. Les écrits des clercs, homme qui sait écrire. (l.14-16). l.18 : tournoi, dans un lieu à la limite des principautés. l.21-22, arrivée au tournoi. « les rejoint », distance de la ville, grands regroupements. l.22, allures de fêtes. On joue à la guerre. l.23 : héraut d’armé, officier chargé de veiller au respect du droit des armes que ce soit en guerre (une sorte d’arbitre). l.33, maréchal est fièle à son seigneur. Éloge envers le jeune roi (l.34-35). l.36, la noblesse, caractérisée par la gentillesse. Le mot « généreux » signifie « bien né ». La société antique est composé de patriciens faisant partie de l’aristocratie, au sens d’origine, le commandement par les meilleurs. Dans généreux, la personne bien né est capable de donner beaucoup. Une personne riche du patrimoine de ses ancêtres. Les nobles, ce qui se passe. Perte du pouvoir des carolingiens. Pour gouverner, il faut distribuer les biens aux aristocrates. Ces rois sont toujours à la pointe du progrès pour être fauché. Un grand seigneur imite le roi. Donner un cheval, c’est une fortune. L’ »esclandre » du combat. Bourgogne et Touraine, la France capétienne.

Le futur Henri III qui comprenait dans sa « mesnie » Guillaume le Maréchal, a également dans sa mesnie Roger qui demande d’être compagnon. On part à deux pour batailler. Ils vont partager le gain à deux. Les clercs tiennent les comptes de la cuisine de la mesnie du jeune roi. On prévoit de la nourriture. Clerc : celui qui sait lire. Il faut nourrir les chevaliers pris au tournoi, en attendant qu’ils paient leur rançon. La mesnie du jeune roi paie pour tout le monde. L’administration d’Henri II prévoit chaque revenu pour les postes. Durant le tournoi, le jeune roi Henri III nourrit tous ses compagnons d’arme plus les otages pris au cours du tournoi.

On gouverne par les largesses qui attirent les meilleurs chevaliers. Attirer la futur armée. Sous des prétextes futiles. Henri III administre bien sa mesnie, son hôtel. Il se prépare à gouverner en étant entouré des meilleurs chevaliers. Sous la conduite de Guillaume, il apprend à gouverner par tout ce qui fait que l’on va dire que c’est un grand roi. On va à nouveau poser de nouveaux jeux de mots. La cour des plantagenets change les moeurs du temps. Le roi reçoit u savoir-faire politique.

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