vendredi 22 avril 2005, par Hervé de Laguiche
Comment les français construisent-ils leur approche du profane et du sacré ?
Actions de grâce : fêtes. Chants sacrés sur les airs profanes. Processions, danses, repas.
La théologie : concile de Trente. La superstition est contrée. Le roi est sacré.
Calendrier des saints, calendrier liturgique. Offices de la journée. Angelus. Messes doménicales.
Lieu de culte, cimetière : lieux sacrés, chapelles, calvaire, croix.
Beauté de la création.
Vols, détériorations dans les églises. Assassinat de prêtres. Profanation de l’eucharistie. L’église cherche à limiter le profane le dimanche. Mouvement de laïcisation de la société ; le gallicanisme. Désacralisation de l’institution.
Conclusion. Désacralisation liée à la crise des églises. Révoltes face à la théologie.
Professeur. On passe d’un État dans l’église à une Église dans l’état. Différenciation politique et religieux. On sépare cimetière et Église. En 1905, lois de séparation de l’église et de l’État.