Ulysses Saloff-Coste

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La ville américaine

lundi 23 mai 2005, par Ulysses Saloff-Coste


On essayait de se moquer de la tendance à construire le « plus grand ». Plus de 90% des déplacements se font en voiture. Parfois, il n’y a même pas de trottoir. Forme homogène, formes d’aménagement de type. La ville américaine est d’abord un grand centre de production industrielle. Les gratte-ciel sont apparus aux États-Unis. Construction de l’ascenseur et le béton-armé. Zones très bien desservies par des voies de communication. Réseau de communication très complexe et diversifié. Piste d’aviation. Autoroute. Près de la moitié de la superficie est occupée par les voies et les entrepôts. Il faut envoyer plus loin la marchandise. Les pistes d’aviation : demande de la société d’utiliser des hélicoptères pour raccourcir le temps de déplacements. Multitude de gares, d’échangeurs, des péages. Occupation importante de l’espace. Pratiquement toutes les villes américaines possèdent des voies superposées. Quand il y a des gares, c’est encore surdimensionné. A Saint Lazare, grandes lignes et transport de banlieue, RER, métro et circulation du bus. Quartiers pollués. Le centre de ville est construit sur un plan strictement régulier. Les rues et avenues se coupent à angle droit. Le long des avenues, à perte de vue, immeubles en béton, uniformes. On utilise de plus en plus de verre et d’acier. Impression que ce sont des legos. Entrée principale et multitude de spots publicitaires. Pas de style d’architecture. 160 étages, ou on donne la hauteur. Centre des affaires. Parfois, on peut retrouver un petit bâtiment reliquaire, une ancienne église ou un bâtiment qui représente suffisamment de valeur pour être épargné. Multitude de tours, centre : la city. Grandes entreprises industrielles, commerciales. Centre de la décision. Le repas informel aboutit à quelques information présentées d’une manière semi-officielle. Forte concentration pour mieux savoir ce qui se passe chez le concurrent. Politique industrielle ou l’espionnage industriel.

Le 3e quartier est celui des habitation. Architecture différente ; en rénovation permanente. Classes moyennes, mais on peut retrouver les quartiers des pauvres, ou ghetto.

Le 4e quartier est celui résidentiel. Surprotection de ce quartier pour riches. Larges avenues. Clôtures sous-tension. Selon le quartier, on peut classer la personne dans une catégorie.

Feuille avec les documents. Axes nord-sud vers les îles, vers les structures du port. Structure plus dans les terres. 15 km vers l’intérieur des terres. Au-dessous, évolution chronologique de la ville. Population du tiers-monde explose. En 20 ans, population multipliée par 10. On passe à 4 à 6 millions d’h. 3e fig. Composition de nationalités. 70% de néo-citadins, nés au village. Issus de l’exode rural. Chefs de famille. Moitié de la population possède un emploi. Ce sont des villes où les populations sont cosmopolites. Les beaux quartiers occupent 40% de l’espace, pour 5% de la population. Le modèle classique de l’habitat de type collectif. Photos. Bidonvilles. Cartes de visite de la ville. Structures. Espace de Londres, peu d’espaces verts. Population de banlieue qui se propage partout. Convergence vers la gare Victoria. Abidjan. Spécificités de la ville : rythme de vie, comment la population se déplace-t-elle ?

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