Ulysses Saloff-Coste

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Définition d’Espace, Système & diapositives

lundi 7 février 2005, par Ulysses Saloff-Coste


Module : les TD, caractère de cours. Définitions de base : à quoi peuvent correspondre les différentes études. Diapositifs. Pouvoir décrypter les paysages. Paysage culturel : quand on visite des pays, à l’aise quand il s’agit de définir un paysage urbain ; éléments d’architecture. Relations entre l’histoire et le patrimoine. Pas capable de sortir un bon commentaire de l’espace. Les professeurs oublient tout ce qui est créé : fixé sur un relief, climat, couverture. Des sociétés ont amorcé pour développer des différents types d’espaces. À Paris : il y a aussi des irrégularités. Ruelles n’ont pas une structure en damier. Choix de différents types de bâtisses pour s’adapter à l’inclinaison des rues. Aménagement à la montagne Ste Geneviève. Régularisation de la Seine. Crues importantes : début du XXe s, il y aune nouvelle menace chaque année. Maintenant, dans les sous-sols des espaces verts, il n’y a plus d’infiltration possible. Les rues sont faites avec des matériaux imperméables. Galeries souterraines.

Définir des éléments :

  • Espace : (plusieurs définitions, si celle des spécialistes de chaque matière, pas les mêmes définitions) « spatium », idée de pas, un espace qu’on franchit en se déplaçant, connu qu’en appliquant l’idée de déplacement ; grec : « chorês » : idée du vide ou de place. Pour les Grecs, espace conçu comme page blanche, sur laquelle on pouvait poser une activité, et aussi une place, un e portions de l’étendue. Également un lieu, même si les lieux composent un espace. Aussi, considéré comme un carrefour. L’espace peut être un abri ou l’exposition. L’agora favorisait les rencontres, lieu où l’on pouvait vivre et communiquer. Au XXe s, « espace vital », dans le passé, espace de conquête. Ensemble des étendues : étendue terrestre. Quand on parle d’un espace, il va falloir donner des critères : par exemple espace naturel. Tout commence à partir de l’espace naturel. Durable dans le cas de nos villes : héritages de plusieurs civilisations, plusieurs styles, siècles. Ou bien espace éphémère : aménagement quand on se balade dans la nature : nuit à la belle étoile, organisation. On a besoin de quelques repaires. Qd on fait entrer quelqu’un dans une salle vide, rares sont les personnes qui se placent au milieu. Au milieu, dans son centre, c’est délicat, besoin de repaires. Si besoin de se reposer, s’asseoir près d’un arbre, là où il y a une vue magnifique. Série de paramètres :
    • Le relief caractérisé par des altitudes : plaines, plateaux, montagne, les littoraux (escarpé ou d’accumulation - plage). Paramètre géologiques : calcaire, volcanique.
    • L’atmosphère : l’aire et l’ensemble de ses états : zone froide, polaire, espace équatorial, maritime, etc.
    • L’hydrographie : sens très élargi, pas seulement les rivières, fleuves. On peut parler des surfaces d’eau, les étangs, les zones marécageuses. Marais à Paris : caractère dominant, les marais, au XIXe s.
    • La biosphère : les végétaux, les animaux, l’homme. Chaque espace est différencié : littoral, même si en Normandie, Côte d’Azur, pas deux espaces identiques.

Difficulté de l’étude de l’espace. Savoir lire les espaces. Pas de codes, sous forme de règles strictes. La méthode est plus appliquée que purement théorique. Les espaces sont toujours organisés, reliés par els réseaux. Constitués de territoires. Les sociétés humaines peuvent créer leur propre espace. Soit on crée consciemment, ou inconsciemment : la grande motte, zone peuplée de moustiques. On a décidé de tout créer à partir de zéro. Il y a eu des créations crées de manière inconsciente. L’aménagement nous a échappé, n’a pas été contrôlé. Années 1960, utilisation de pesticides, érosion de sols. Pollution . En construisant, l’espace ne peut plus se défendre : à Paris, il pleut : système d’égouts. La ligne 6, aérienne, parfois stations fermées. On n’a pas évalué les risques. On arrive à résoudre le problème. Parfois, oui « mais la nature peut reprendre ses droits » : le tsunami du 26 décembre 2004. En Amérique latine, pluies de boue. L’homme a provoqué une déforestation. Trop forte concentration de ces maisons. L’eau s’accumule là elle peut avoir un peu du sol. Tout va partir sous forme de coulée de boue. Pourquoi les hommes font ça ? D’abord pour résoudre des problèmes théoriques. Les aménagements devaient d’abord répondre au besoin d’abris, des sociétés primitives. Ensuite, pour mobiliser des ressources, pour ses défendre, pour ses reproduire, pour régner. Chaque société a son propre ordre. Chacun peut donner des cycles à ses activités. Dans nos sociétés, c’est plus compliqué, l’aménagement s’inscrit dans un contexte plus abstrait : transport, administration, la législation (protection du littoral), les traditions, les cultures (valeurs pour construction des maisons des arbres). Dans notre civilisation, adaptation de différents types de matériaux. On utilise le fer et l’acier, le bois ; c’est un choix. Les échanges peuvent provoquer : styles se greffaient dans les différents pays. L’espace peut être donc approprié, exploité, géré, parcouru, aménagé, contemplé. Eurodisney : pour se détendre, pour se sentir encore un enfant.

  • Système : les étudiants se disent, on sait. Portion d’étendu, mais aussi abstrait, au moins deux éléments, des relations entre les éléments, pas de système fermé. Notre système est délimité par le mur. Différents éléments : ensemble des humains dans cette salle-là. Relation entre nous. Les éléments n’ont pas la même forme ou identité. Filles et garçons. Hétérogénité à la base. Relations hiérarchiques, relations avec les camarades. Communiquer avec des gens qui ne font pas partie avec le système. Se sentir bien avec le chauffage, le soleil, l’électricité, le bruit de voiture. Délimiter notre système : de manière abstraite. Réunion par le contenu du programme du contenu. Les étudiants qui sont en première année.

Diapositives : définir le relief, la couverture végétal, l’aménagement.

  • Tongo : espace naturel ; plateau ou une plaine. À côté d’un lieu d’habitat, on modifie la flore : améngements. Lieu d’habitat avec des cases : avec de l’argile. Maisons aérées. Jarres pour garder de l’eau.
  • Le Caire, espace urbain : un peu de pelouse, c’est l’homme. Voitures, réseaux, tramway. Espace de culture, de commerce, de travail.
  • Espace de tourisme : aménagement sous forme de piscine, détente, de travail pour les embarcations, ou gens acheminent.
  • Espace agricole : archaïque, pas d’aménagement. On brûle la forêt. Cette agriculture est temporaire. Trois ans d’exploitation. Les éléments nutritifs vont être entraînés en profondeur. On abandonne ces parcelles.
  • Agriculture d’oasis : système d’irrigation. Le milieu est dominé par un climat. Ici, le climat est désertique. Les lopins de terres : on fait pousser des céréales. On doit arroser trois fois par jour.
  • Autre oasis, large vallée, profonde, nom de « wed ( ?) ». Seul le fond de vallée est suffisamment humide pour cultiver.
  • Côtes de l’Antarctique : plaques de glaces salées, pas de iceberg. L’Antarctique est écrasé sous é à 4 km de glace. Le relief est enfoncé dans l’asthénosphère. Fumé blanchâtre : seul volcan, le « rebus ( ?) ».
  • Lieu de vie, sur un littoral, où on peut parler d’oasis. Zone : attroupement de manchots, lieu de reproduction. Les eaux sont poissonneuses.
  • Le glacier du Rhône, le glacier l’alimente. Évolution de cet espace de montagne. Verdure dominée par les mousses. Aménagement existe avec la route qui monte en zig-zag. Structure : le glacier a reculé.
  • Saint Marin : Bute, colline, péninsule Orientale. Site stratégique : trois châteaux, grande attraction. Beaucoup de touristes viennent pour visiter cet héritage. Cette colline est reliée par le système.
  • Portugal :agriculture ; il ne reste que les oliviers.
  • Plaines : large cour d’eau. L’eau a baissé. Bandes de sables. Type d’habitat. Village en nébuleuse. Les villages perchés. Possibilités.
  • Faille « San Andreas » : lieu naturel, dominé. On voit des strates géologiques. Des sédiments se sont déposés à l’horizontale. Tout est disséqué par le réseau hydrographique.
  • Les atoles en Océanie : deux volcans se sont affaisés. Une bande est exploitée par les coraux. Bande de sable de quelques dizaines de mètres.
  • Espace en Nouvelle-Zélande, roche à la verticale.
  • « Ayers rock »(Uluru) en Australie.
  • Iran : structure réalisée en étage. Travail permanent, manuel.
  • Nouvelle-Guinée : constructions dans les arbres. Cette société pratique le cannibalisme.
  • Toit en bois, on plante de la mousse contre la mousson. Cette maison est sur pilotis. Photo des grands-parents à l’entrée.
  • Chine : petits champs de coton. Montagnes existent : la pluie chargée de CO2 a rongé la roche.
  • Amérique latine : roseaux.
  • Pérou : position du soleil.
  • Amérique latine
  • Espaces vierges : lacs de mousse dans le grand nord canadien.

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